La Biokinergie permet, par la libération des structures et de l’énergie, la remise en mouvement des circuits d’information qui parcourent le corps.

L’organisme va ensuite fournir un travail pour retrouver un nouvel état d’équilibre et éliminer certaines toxines.

Ce travail a un coût énergétique qui peut parfois entraîner certaines réactions, telles que de la fatigue, des courbatures, des rêves, des éruptions cutanées.

Ces réactions, non systématiques, surviennent, en général dans les jours qui suivent la séance et, il est recommandé de bien s’hydrater et d’éviter de fournir des efforts physiques importants (sport, travaux d’intensité soutenue) pendant 48 heures afin de permettre à l’organisme de s’équilibrer dans des conditions optimales.

A noter que la survenue ou non de réactions post-séance n’augure en rien de l’efficacité potentiel d’un traitement.

La Biokinergie ne s’intéresse qu’aux désordres, troubles ou pathologies, dit fonctionnels.

Elle ne prétend, en aucun cas, guérir les cancers, les pathologies  dégénératives résultant de l’atteinte d’un organe dans sa structure (diabète secondaire avec destruction de cellules pancréatiques par exemple ).

Elle ne peut être, dans ces cas-là,  qu’un complément aux autres thérapies mises en place.

De la même façon, elle ne peut remplacer un acte chirurgical  lorsque la structure anatomique a perdu son intégrité ( fractures, ruptures tendineuses ou nerveuses, hernies discales exclues).

D’autres facteurs peuvent limiter l’efficacité de la Biokinergie comme la persistance d’une toxicité dans l’environnement relationnel du patient ( professionnel, familial, conjugal, social…) ou dans son hygiène de vie ( addictions, déséquilibres nutritionnels, mauvaises ergonomies, contraintes physiques inadaptées…) qui vont constituer des agressions chroniques pour l’organisme qu’il faudra sans cesse rééquilibrer.